Je reprends l’expression d’Anaïk qui a déserté son blog depuis trop longtemps, sans terminer la collection de fast food à faire soi même, lentement, avec amour, et bien mieux que dans n’importe quel restaurant rapide du monde soit disant civilisé. Tout ça sans la dose de culpabilité qui accompagne en général ces nourritures honteuses et grasses (mais bonnes) venues de l’autre côté de l’océan.
Donc, pour changer des hamburgers, hot-dogs et pizza pan maisons, une petite chose délicieuse à grignoter avec les gamins un dimanche soir devant la télé (avec une salade pour faire plus sain) : les chicken wings. Encore une fois une recette simplissime et efficace de Lilo : on ne change pas les recettes qui gagnent. Il n’y en avait pas assez.
Chicken wings
- 1 kg d'ailerons de poulet
- 4 cs d'huile d'olive
- 1 cs de moutarde
- 1 cs bombée de ketchup
- 1 cs bombée de paprika
- 1 cc de piment d'Espelette en poudre
- 1 cc de sel
La veille, mélanger dans un grand saladier tous les ingrédients tous les condiments et les épices. Enduire les ailerons de poulets avec cette marinade, filmer et laisser reposer une nuit au réfrigérateur.
Le lendemain, disposer les ailerons de poulet dans un grand plat ou une plaque de cuisson. Préchauffer le four à 180°C. Enfourner pour environ 1h15 à 180°C, en les retournant trois fois en court de cuisson. Passer éventuellement sous le grill à la dernière minute si les chicken wings ne sont pas assez grillés.
Servir avec une salade verte – oui je sais, pour la prochaine fois on m’a réclamé des potatoes.
P.S : Pour Arbouse&Physalis et Cuisine framboise, qui préférèrent les pilons de poulet, bien sur que ça « fait pareil ». Sauf que c’est moins pratique à manger avec les doigts. Personnellement, je préfère utiliser les hauts de cuisses, plus tendres. Et si ça vous tente, j’ai en stock deux marinades asiatiques qui conviennent particulièrement à ce type de cuisson, celle du magret qui tue, et celle du poulet Gai Yang (allez y les yeux fermés).
P.S : Pour Arbouse&Physalis et Cuisine framboise, qui préférèrent les pilons de poulet, bien sur que ça « fait pareil ». Sauf que c’est moins pratique à manger avec les doigts. Personnellement, je préfère utiliser les hauts de cuisses, plus tendres. Et si ça vous tente, j’ai en stock deux marinades asiatiques qui conviennent particulièrement à ce type de cuisson, celle du magret qui tue, et celle du poulet Gai Yang (allez y les yeux fermés).