Au dessus de toi, gonflée de vent, la voile t’emporte, te soulève. Tu ne tombes pas non, tu t’envoles. Et puis tu montes, au gré des courants ascendants, comme les oiseaux, du vent plein les oreilles et le sourire aux lèvres. Comme un oiseau, ou comme un gamin, libre, ébloui, maitre du monde, incroyablement heureux.
Laissez vous porter, voyageurs immobiles, par ces très belles images des Açores, qui donnent envie, tout simplement, de s’envoler, ou de gravir les volcans pour passer au dessus des nuages.
(Un reportage au générique duquel j’ai retrouvé, évidemment, le nom d’Elvira)
8 comments:
Que c'est beau!
Bises et bonne fin de journöe,
Rosa
saudades
j'y ai passé trois années inoubliables. J'en ai ramené un petit garçon qui vient de prendre son envol... C'était donc il y a 18 ans mais c'était hier...
obrigada , Senhora do domingo campones
oh c'est beaaaauuuuu... Bisous.
J'avais noté la programmation de cette
émission sur la 5 mais tu m'as donné
envie hier soir de me ballader au
dessus de ces îles magnifiques.
Elle est chanceuse la belle Elvira !
Tes mots font rêver et puis arrivent les images qui donnent envie de légèreté dans tous les sens du terme...
Pas plus tard que hier, Elvira me disait de venir en été pour rallier les îles en bateau plutôt qu'en avion... ce que je vais faire, parce comme, ça accroché à un champignon, même pas en rêve ;-))
Christine, c’est une belle histoire que tu nous racontes là. Et j’imagine qu’avec une mère pareille, il a du s’envoler loin, ton oiseau.
Gab, la chance il faut la saisir je crois. J’imagine que ce n’est pas une décision facile à prendre d’aller vivre comme ça, si loin, au milieu de l’océan.
Patrick, même en bateau, au vu du reportage de l’autre soir, ça me parait pas mal agité par là.
Hummm... Un petit goûter à l'ombre, sur la terrasse...
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