
Vous la connaissez celle qui croit avoir tout sous contrôle cette fois-ci pour le réveillon de Noël et le repas du lendemain? Qui commence les préparatifs super motivée une semaine avant la date fatidique, après avoir collecté une tonne de recettes sur le Net? Qui se prend pour
Fred et
Mercotte et entreprend des recettes de dessert de pro? Et qui, au final, rate son foie gras parce que décidément le nouveau four ne fonctionne pas comme l'ancien, sert un poulet au vin jaune avec une sauce trop liquide, foire lamentablement le glaçage du dessert et fait manger ses convives à des heures indues, pendant que les enfants font la gueule dans un coin en attendant désespérement le passage du Père Noël?
Ben c'est moi...

Heureusement, sur les deux repas, il n'y avait pas que des ratés. Le poulet au vin jaune et aux morilles façon
Patrick Chazallet était très bon quand même (surtout le lendemain).
Les coquilles St Jacques au lard et aux cèpes façon
Estèbe étaient délicieuses (désolée, pas de photos, on a tout mangé).

Les petits pains très tendres et craquants de
Sandra étaient particulièrement réussis. Sur le plateau de fromage trônait la belle part de Taleggio envoyée par la poste par l'adorable Kat de
Cuochi di Carta.

Et toute la tablée repue a quand même fait un sort au Mystère glacé d'
Hélène, j'aurais au moins réussi un dessert.

Quant aux
massepains,
orangettes et
truffes au malt whisky (Aberlour), s'il en reste c'est que nous n'avions vraiment plus faim.
C'est promis, l'an prochain je fais simple. Ou alors je fais un stage intensif d'organisation chez
Mercotte.
Et pour le Nouvel An, une tartiflette, ça vous dit?